La Ministre de l’enseignement supérieur a aujourd’hui décidé, en concertation avec le Conseil des recteurs francophones (CRef), l’ARES et la présidence du Jury, que les examens d'entrée en médecine et dentisterie se tiendront respectivement le 28 août et le 12 septembre.
Pour rappel, l’épreuve prévue le 3 juillet 2020 est reportée au 28 août 2020, en raison des mesures sanitaires liées à la crise du COVID-19, et afin de permettre aux 6ème secondaires de disposer d'un peu plus de temps pour se préparer étant donné que leurs cours de mathématiques, de biologie, de physique et de chimie auront été interrompus pendant de nombreuses semaines. Cette première épreuve sera organisée en présentiel, de manière centralisée, dans les locaux du Heysel, dans le respect des règles sanitaires.
Afin d’interférer le moins possible avec la prochaine rentrée académique, la deuxième épreuve, annoncée pour le 8 octobre au plus tard, sera finalement organisée le 12 septembre, de manière décentralisée, au sein des universités.
L’organisation des deux épreuves sera placée sous l’égide de l’Académie de Recherche et d’Enseignement supérieur (ARES) qui en assurera la coordination. Tout sera mis en œuvre pour préserver l’équité de traitement entre tous les candidats et garantir les mesures de sécurité sanitaires appropriées. Comme le souligne la présidence du jury, si, pour des raisons d’ordre pratique, les deux épreuves auront des modalités d’organisation concrètes différentes (centralisation pour la première, décentralisation pour la seconde), les conditions seront identiques pour tous les étudiants.
C’est d’ailleurs l’ARES qui conserve la supervision générale de toutes les épreuves sur tous les sites. S’agissant du contenu de l’examen, il sera, comme à l’accoutumée, défini par le jury, tant pour l’épreuve d’août que pour celle de septembre. En ce qui concerne cette dernière, les questions seront identiques dans toutes les implantations.
La Ministre Valérie Glatigny tient à remercier le Conseil des recteurs des universités francophones (CRef), l’ARES ainsi que la présidence du jury pour leur disponibilité et leur pragmatisme, qui ont permis d’aboutir à une solution équilibrée en faveur des étudiants.